Jean-Pierre Létourneau aimerait que la Ville accorde un statut de protection au mont Durocher.
©TC Media – Eric Nicol
Amateur de plein air et bénévole pour l’organisme Plein air Sainte-Adèle (PASA), Jean-Pierre Létourneau affirme que l’administration municipale pourrait poser des gestes concrets pour la protection de ce petit sommet situé en bordure de la rue des Monts.
À cet endroit, on retrouve des sentiers aménagés, balisés et répertoriés sur les cartes officielles de Plein air Sainte-Adèle. Les terrains en question appartiennent à la Ville de Sainte-Adèle, mais ils ne bénéficient d’aucun statut particulier de protection, affirme Jean-Pierre Létourneau.
À partir du stationnement du boulevard des Monts, on peut atteindre le petit sommet du mont Durocher en quelques minutes. Une fois en haut, on a une vue sur le centre-ville de Sainte-Adèle, la croix du sommet Bleu et, de l’autre côté, on aperçoit le mont Olympia.
Le site est utilisé par les marcheurs et les raquetteurs et il donne accès à des sentiers de ski de fond. Les élèves de l’école Chante-au-vent viennent régulièrement y marcher lors des cours d’éducation physique.
« Pourquoi ne pas protéger ce lieu? Il est situé tout près du centre-ville. Plusieurs personnes viennent s’y entraîner ou simplement se promener », affirme-t-il.
Le plein air en péril?
S’il salue l’engagement financier de la Ville envers le groupe de bénévoles de PASA, il affirme qu’elle court un grand risque en n’investissant pas davantage dans la protection de ses lieux de plein air. « Le réseau du Chantecler est un des réseaux les plus reconnus pour le vélo de montagne et il ne nous appartient pas. Nous pourrions le perdre du jour au lendemain », déplore-t-il.
Le citoyen affirme ne pas prendre position pour quelque candidat que ce soit et il invite les trois candidats à la mairie connus jusqu’à maintenant à prendre position pour le mont Durocher.
*De son côté, la Ville de Sainte-Adèle soutient que le mont Durocher est zoné «Récréatif et conservation » depuis mars 2013. Plus de détails suivront...
L’organisme culturel Laurel Ma Muse qui organisait des spectacles et d’autres événements artistiques dans le secteur de Laurel a suspendu ses activités après des conflits d’horaire concernant l’utilisation de la salle communautaire voisine de l’hôtel de ville.
L’Adéloise Michelle Legault a choisi d’aider les autres et œuvre à titre de préposée aux bénéficiaires depuis 12 ans. Même si le travail est exigeant, il lui permet de s’épanouir pleinement.
Bien connu dans la région, rigoureux et passionné de l’histoire, Pierre Grignon n’oubliera jamais un détail de la vie de son grand-oncle, Claude-Henri-Grignon. Ce créateur des personnages légendaires de notre région aura laissé une marque indélébile dans le cœur d’un homme qui aujourd’hui, rappelle son œuvre.
Séraphin Poudrier, voilà un nom qu’on prononce souvent, particulièrement depuis le début de la diffusion de la série Les Pays d’en haut. Qui est-il? A-t-il vraiment existé? Il est inspiré de plusieurs figures importantes de l’époque, mais Séraphin est le fruit de l’imagination d’un grand homme.
Jean-Pierre Létourneau aimerait que la Ville accorde un statut de protection au mont Durocher.
©TC Media – Eric Nicol
Amateur de plein air et bénévole pour l’organisme Plein air Sainte-Adèle (PASA), Jean-Pierre Létourneau affirme que l’administration municipale pourrait poser des gestes concrets pour la protection de ce petit sommet situé en bordure de la rue des Monts.
À cet endroit, on retrouve des sentiers aménagés, balisés et répertoriés sur les cartes officielles de Plein air Sainte-Adèle. Les terrains en question appartiennent à la Ville de Sainte-Adèle, mais ils ne bénéficient d’aucun statut particulier de protection, affirme Jean-Pierre Létourneau.
À partir du stationnement du boulevard des Monts, on peut atteindre le petit sommet du mont Durocher en quelques minutes. Une fois en haut, on a une vue sur le centre-ville de Sainte-Adèle, la croix du sommet Bleu et, de l’autre côté, on aperçoit le mont Olympia.
Le site est utilisé par les marcheurs et les raquetteurs et il donne accès à des sentiers de ski de fond. Les élèves de l’école Chante-au-vent viennent régulièrement y marcher lors des cours d’éducation physique.
« Pourquoi ne pas protéger ce lieu? Il est situé tout près du centre-ville. Plusieurs personnes viennent s’y entraîner ou simplement se promener », affirme-t-il.
Le plein air en péril?
S’il salue l’engagement financier de la Ville envers le groupe de bénévoles de PASA, il affirme qu’elle court un grand risque en n’investissant pas davantage dans la protection de ses lieux de plein air. « Le réseau du Chantecler est un des réseaux les plus reconnus pour le vélo de montagne et il ne nous appartient pas. Nous pourrions le perdre du jour au lendemain », déplore-t-il.
Le citoyen affirme ne pas prendre position pour quelque candidat que ce soit et il invite les trois candidats à la mairie connus jusqu’à maintenant à prendre position pour le mont Durocher.
*De son côté, la Ville de Sainte-Adèle soutient que le mont Durocher est zoné «Récréatif et conservation » depuis mars 2013. Plus de détails suivront...
L’organisme culturel Laurel Ma Muse qui organisait des spectacles et d’autres événements artistiques dans le secteur de Laurel a suspendu ses activités après des conflits d’horaire concernant l’utilisation de la salle communautaire voisine de l’hôtel de ville.
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