Claude Péloquin, vice-président de Bromont, montagne d’expériences Louis Dufour, président du conseil de Mont Saint-Sauveur, Charles Désourdy, président de Bromont, Louis Philippe Hébert, président et chef de la direction Mont Saint-Sauveur et Christian Charette, vice-président de Bromont.
©Photo:Olivier Jobin
Les deux entreprises familiales ajouteront en effet l’option Nord-Est à leur grille de tarifs, ce qui permettra aux skieurs de Mont Saint-Sauveur d’aller descendre les pentes de Bromont et vice versa.
« Nous avons voulu offrir aux gens la possibilité d’avoir un abonnement saisonnier dans les deux stations, a affirmé le président et chef de la direction de Mont Saint-Sauveur, Louis Philippe Hébert. C’est quelque chose qui existe déjà aux États-Unis, dans les centres de ski de l’Ouest. Nous avons discuté et avons trouvé que c’était une option intéressante. »
Le prix de l’option Nord-Est débute à 20$ et augmente en fonction des modalités de l’abonnement acheté. Ainsi, pour une passe de soirée, valide du dimanche au lundi, l’option Nord-Est sera à 20$, mais pour une Passe parfaite, valide en tout temps la semaine et les soirs de fin de semaine, l’option coûtera 60$. Les skieurs des Laurentides auront ainsi accès aux sept versants de Bromont.
À l’inverse, les clients de Bromont qui choisiront l’option Nord-Est pourront skier dans les cinq montagnes laurentiennes appartenant à Mont Saint-Sauveur.
En mode exploratoire
Louis Philippe Hébert affirme que les deux centres de ski ne se sont pas donné d’objectif et ne savent pas encore combien de clients pourraient opter pour cette nouvelle offre. « C’est en phase exploratoire, ajoute-t-il. C’est le futur qui va nous guider, nous dire si on continue. »
Chose certaine, 270 000 skieurs détenaient un abonnement l’année dernière au Québec. « Nous voyons là un potentiel énorme à saisir pour convertir ces skieurs, et leur donner le goût de pratiquer le ski plus régulièrement », a souligné Charles Désourdy, président de Bromont, montagne d’expériences.
Séraphin Poudrier, voilà un nom qu’on prononce souvent, particulièrement depuis le début de la diffusion de la série Les Pays d’en haut. Qui est-il? A-t-il vraiment existé? Il est inspiré de plusieurs figures importantes de l’époque, mais Séraphin est le fruit de l’imagination d’un grand homme.
Des trésors cachés ou souvenirs ornent encore le paysage adélois. Les Belles Histoires des Pays d’en haut ont attiré des milliers de personnes au défunt village de Séraphin. Aujourd’hui, de belles découvertes sont encore à faire…
La Chambre de commerce de Saint-Sauveur et le Théâtre des Pays d’en Haut se sont entendus pour offrir un intéressant rabais aux résidents qui veulent voir des spectacles dès le 24 mai.
L’organisme culturel Laurel Ma Muse qui organisait des spectacles et d’autres événements artistiques dans le secteur de Laurel a suspendu ses activités après des conflits d’horaire concernant l’utilisation de la salle communautaire voisine de l’hôtel de ville.
Les dirigeants des communautés limitrophes du P’tit Train du Nord peuvent souffler: le parc linéaire retrouvera dès cette année la majeure partie de son financement.
L’Adéloise Michelle Legault a choisi d’aider les autres et œuvre à titre de préposée aux bénéficiaires depuis 12 ans. Même si le travail est exigeant, il lui permet de s’épanouir pleinement.
Bien connu dans la région, rigoureux et passionné de l’histoire, Pierre Grignon n’oubliera jamais un détail de la vie de son grand-oncle, Claude-Henri-Grignon. Ce créateur des personnages légendaires de notre région aura laissé une marque indélébile dans le cœur d’un homme qui aujourd’hui, rappelle son œuvre.
Séraphin Poudrier, voilà un nom qu’on prononce souvent, particulièrement depuis le début de la diffusion de la série Les Pays d’en haut. Qui est-il? A-t-il vraiment existé? Il est inspiré de plusieurs figures importantes de l’époque, mais Séraphin est le fruit de l’imagination d’un grand homme.
Claude Péloquin, vice-président de Bromont, montagne d’expériences Louis Dufour, président du conseil de Mont Saint-Sauveur, Charles Désourdy, président de Bromont, Louis Philippe Hébert, président et chef de la direction Mont Saint-Sauveur et Christian Charette, vice-président de Bromont.
©Photo:Olivier Jobin
Les deux entreprises familiales ajouteront en effet l’option Nord-Est à leur grille de tarifs, ce qui permettra aux skieurs de Mont Saint-Sauveur d’aller descendre les pentes de Bromont et vice versa.
« Nous avons voulu offrir aux gens la possibilité d’avoir un abonnement saisonnier dans les deux stations, a affirmé le président et chef de la direction de Mont Saint-Sauveur, Louis Philippe Hébert. C’est quelque chose qui existe déjà aux États-Unis, dans les centres de ski de l’Ouest. Nous avons discuté et avons trouvé que c’était une option intéressante. »
Le prix de l’option Nord-Est débute à 20$ et augmente en fonction des modalités de l’abonnement acheté. Ainsi, pour une passe de soirée, valide du dimanche au lundi, l’option Nord-Est sera à 20$, mais pour une Passe parfaite, valide en tout temps la semaine et les soirs de fin de semaine, l’option coûtera 60$. Les skieurs des Laurentides auront ainsi accès aux sept versants de Bromont.
À l’inverse, les clients de Bromont qui choisiront l’option Nord-Est pourront skier dans les cinq montagnes laurentiennes appartenant à Mont Saint-Sauveur.
En mode exploratoire
Louis Philippe Hébert affirme que les deux centres de ski ne se sont pas donné d’objectif et ne savent pas encore combien de clients pourraient opter pour cette nouvelle offre. « C’est en phase exploratoire, ajoute-t-il. C’est le futur qui va nous guider, nous dire si on continue. »
Chose certaine, 270 000 skieurs détenaient un abonnement l’année dernière au Québec. « Nous voyons là un potentiel énorme à saisir pour convertir ces skieurs, et leur donner le goût de pratiquer le ski plus régulièrement », a souligné Charles Désourdy, président de Bromont, montagne d’expériences.
Séraphin Poudrier, voilà un nom qu’on prononce souvent, particulièrement depuis le début de la diffusion de la série Les Pays d’en haut. Qui est-il? A-t-il vraiment existé? Il est inspiré de plusieurs figures importantes de l’époque, mais Séraphin est le fruit de l’imagination d’un grand homme.
Des trésors cachés ou souvenirs ornent encore le paysage adélois. Les Belles Histoires des Pays d’en haut ont attiré des milliers de personnes au défunt village de Séraphin. Aujourd’hui, de belles découvertes sont encore à faire…
La Chambre de commerce de Saint-Sauveur et le Théâtre des Pays d’en Haut se sont entendus pour offrir un intéressant rabais aux résidents qui veulent voir des spectacles dès le 24 mai.
L’organisme culturel Laurel Ma Muse qui organisait des spectacles et d’autres événements artistiques dans le secteur de Laurel a suspendu ses activités après des conflits d’horaire concernant l’utilisation de la salle communautaire voisine de l’hôtel de ville.
Les dirigeants des communautés limitrophes du P’tit Train du Nord peuvent souffler: le parc linéaire retrouvera dès cette année la majeure partie de son financement.
L’Adéloise Michelle Legault a choisi d’aider les autres et œuvre à titre de préposée aux bénéficiaires depuis 12 ans. Même si le travail est exigeant, il lui permet de s’épanouir pleinement.
La qualité de l’eau du bassin versant de la rivière du Nord sera mieux suivie cet été : l’organisme Abrinord a annoncé qu’elle allait déployer de nouvelles stations d’échantillonnage de la rivière et de ses affluents.
La série semi finale de la LHJQ entre Sainte-Agathe et Granby débutera ce vendredi 25 mars au Centre sportif Damien-Hétu de Sainte-Agathe.
