Mieux manger, c'est mieux bouger

Isabelle Houle [email protected] Publié le 5 novembre 2015

Marine Lewis, athlète en vélo de montagne.

©gracieuseté

Dans la MRC des Pays-d’en-Haut, beaucoup d’adolescents se dépassent dans différents sports. S’ils veulent monter sur le podium, ils doivent tout donner et surtout, bien manger.

Plusieurs athlètes connus de la région le confirment : manger est l’essence de leur réussite. Si certains adolescents ne voient pas la nécessité de consommer des repas complets et équilibrés tous les jours, d’autres ne pourraient s’en passer. « Au niveau où je me situe, je n’ai pas le choix d’avoir de l’énergie. De toute façon, je suis incapable de me priver de déjeuner, » confie la skieuse acrobatique de bosses, Valérie Gilbert, 17 ans, membre de l’équipe nationale.

L’Adéloise soutient qu’elle n’est pas suivie par une nutritionniste, mais a voulu s’assurer d’avoir de bonnes bases en alimentation pour suivre le rythme des entraînements. « J’ai voulu avoir des trucs pour ne pas manquer de protéines. Je trouvais que je manquais un peu de jus, » ajoute-t-elle.

Gatorade, fruits, compote de pommes et viandes font partie des liquides et collations que Valérie prend régulièrement pour tenir la route. « Le soir, on mange plus de féculents, mais on se fait aussi de grosses salades pour avoir des légumes. »

Celle-ci s’entraîne près de cinq heures par jour et prône le yogourt grec ou le gruau comme premiers repas de la journée.

Bien-être

Pour la jeune sauveroise Marine Lewis, championne de vélo de montagne, l’alimentation est la base de sa performance. « Je suis suivie en nutrition et je crois qu’à un certain niveau de compétition, c’est vraiment nécessaire. Je mangeais déjà bien, mais j’ai appris à augmenter mes protéines, baisser mes glucides et mes pâtes. Simplement de rééquilibrer le tout, ça aide. »

Celle-ci l’admet, toujours surveiller son alimentation peut être difficile. « Je suis gourmande, mais je dois dire que je me sens mieux quand je respecte un équilibre alimentaire et que je mange les bonnes choses. Par contre, il ne faut pas capoter.

avec ça ou que le fait de bien manger devienne malsain. Être bien dans notre corps n’apporte que du positif! »

Par ailleurs, Valérie et Marine soulignent qu’elles aiment cuisiner. Valérie participe à des cuisines collectives en camp d’entraînement et Marine cuisine pour le plaisir. Elles ajoutent que le contact avec la nourriture leur permet de mieux s’alimenter. C’est aussi le cas du skieur de bosses de Sainte-Adèle, Pierre-Henri Honoré. Ce dernier mange tous les soirs de copieux repas santé avec ses parents et s’assure que tous les jours, il consomme assez de bonnes protéines pour monter sur les podiums.

 

Je me sens mieux quand je respecte un équilibre alimentaire

Marine Lewis

En manchette

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Mieux manger, c'est mieux bouger

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©gracieuseté


Dans la MRC des Pays-d’en-Haut, beaucoup d’adolescents se dépassent dans différents sports. S’ils veulent monter sur le podium, ils doivent tout donner et surtout, bien manger.

Plusieurs athlètes connus de la région le confirment : manger est l’essence de leur réussite. Si certains adolescents ne voient pas la nécessité de consommer des repas complets et équilibrés tous les jours, d’autres ne pourraient s’en passer. « Au niveau où je me situe, je n’ai pas le choix d’avoir de l’énergie. De toute façon, je suis incapable de me priver de déjeuner, » confie la skieuse acrobatique de bosses, Valérie Gilbert, 17 ans, membre de l’équipe nationale.

L’Adéloise soutient qu’elle n’est pas suivie par une nutritionniste, mais a voulu s’assurer d’avoir de bonnes bases en alimentation pour suivre le rythme des entraînements. « J’ai voulu avoir des trucs pour ne pas manquer de protéines. Je trouvais que je manquais un peu de jus, » ajoute-t-elle.

Gatorade, fruits, compote de pommes et viandes font partie des liquides et collations que Valérie prend régulièrement pour tenir la route. « Le soir, on mange plus de féculents, mais on se fait aussi de grosses salades pour avoir des légumes. »

Celle-ci s’entraîne près de cinq heures par jour et prône le yogourt grec ou le gruau comme premiers repas de la journée.

Bien-être

Pour la jeune sauveroise Marine Lewis, championne de vélo de montagne, l’alimentation est la base de sa performance. « Je suis suivie en nutrition et je crois qu’à un certain niveau de compétition, c’est vraiment nécessaire. Je mangeais déjà bien, mais j’ai appris à augmenter mes protéines, baisser mes glucides et mes pâtes. Simplement de rééquilibrer le tout, ça aide. »

Celle-ci l’admet, toujours surveiller son alimentation peut être difficile. « Je suis gourmande, mais je dois dire que je me sens mieux quand je respecte un équilibre alimentaire et que je mange les bonnes choses. Par contre, il ne faut pas capoter.

avec ça ou que le fait de bien manger devienne malsain. Être bien dans notre corps n’apporte que du positif! »

Par ailleurs, Valérie et Marine soulignent qu’elles aiment cuisiner. Valérie participe à des cuisines collectives en camp d’entraînement et Marine cuisine pour le plaisir. Elles ajoutent que le contact avec la nourriture leur permet de mieux s’alimenter. C’est aussi le cas du skieur de bosses de Sainte-Adèle, Pierre-Henri Honoré. Ce dernier mange tous les soirs de copieux repas santé avec ses parents et s’assure que tous les jours, il consomme assez de bonnes protéines pour monter sur les podiums.

 

Je me sens mieux quand je respecte un équilibre alimentaire

Marine Lewis