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Inspiré d’événements en Europe et au Québec (Mascouche et Montréal), l’Oktobierfest a pris de l’importance et est devenu un incontournable à Sainte-Adèle. Plusieurs visiteurs y découvrent une passion pour la bière et y goûtent plusieurs saveurs. « L’idée était de faire venir des gens à Sainte-Adèle et d’organiser quelque chose à grand déploiement! J’ai vu ce qui se faisait ailleurs et j’ai constaté l’engouement. J’ai su que pour Sainte-Adèle, ça pourrait marcher. C’est avec l’aide d’un comité formé à la Chambre de commerce qu’on a mis la première édition sur pied, » soutient Frédéric Belval, ancien directeur général à la Chambre de commerce de Sainte-Adèle et cofondateur de l’Oktobierfest.
Ce dernier souligne le travail d’équipe aux côtés de gens qui s’impliquent encore au sein de l’événement comme Guy Vandenhove, actuel président de la Chambre, Gilles Imbert, propriétaire du restaurant La Farandole. Parmi les « brasseurs » d’idées, on retrouvait aussi Fanny Lavoie, et Jonathan Dubois, partenaire de l’événement qui se voulait une fête bavaroise, combinée de bière et de nourriture.
Toujours grandiose
Aujourd’hui, l’Oktobierfest de Sainte-Adèle attire plus de 30 000 personnes et reçoit 18 brasseurs. Plus de 100 kiosques sont érigés pour faire connaître des commerçants d’ici et d’ailleurs. Diverses activités sont greffées à ce festival qui dure trois jours en octobre comme des manèges, de l’animation et un concours d’hommes forts. Organisé à la nouvelle Place des citoyens au centre du village de Sainte-Adèle, l’Oktobierfest est devenu célèbre et fait briller la région. « Je suis content de voir ce que c’est devenu! On a commencé avec quatre ou cinq brasseurs en combinant la période des couleurs et aujourd’hui c’est incroyable! Des gens y ont cru! » affirme M. Belval.
L’actuel directeur de la Chambre de commerce de Sainte-Adèle Guy Goyer se dit ravi et souligne la collaboration des commerçants qui font découvrir une panoplie de saveurs aux visiteurs. « Je ne croyais pas qu’il y avait autant d’amateurs de bières. Les gens viennent et veulent goûter! Dans les microbrasseries comme Gueule de Loup à Sainte-Adèle, il n’y a pas d’âge, c’est une formule gagnante, accessible à tous! »
Guy Goyer, Chambre de commerce de Sainte-Adèle
ACCENTS. Même si un Saguenéen peut être identifié à l’instant où il ouvre la bouche et qu'un Montréalais ne peut trahir ses origines lorsqu'il prononce «pôteau», le parler québécois est assez homogène, affirment des experts. Et la tendance ne fait que s’accentuer.
Selon Statistique Canada, des 974 895 immigrants qui vivent au Québec, 16% (159 635) ont pour langue maternelle le français et ont identifié le français comme étant la ou l'une des langues les plus souvent parlées à la maison, en 2011.
ANGLAIS. Le Québécois est fier de sa langue. Très fier. Mais il est aussi complexé. Car historiquement, l'anglais s'est déjà fait hautement menaçant pour la préservation du français. Aujourd'hui, en raison de cette insécurité linguistique, les anglicismes sont craints et l'influence de l'anglais sur notre langue, pourtant fort créative, est surestimée.
DOSSIER. Si ce sont des Français qui ont colonisé le Québec, comment expliquer la différence d’accent entre les deux peuples aujourd’hui?
DOSSIER. Comment le Black Friday est-il devenu le Vendredi fou au Québec ? Pourquoi parle-t-on aujourd’hui de gaz de schiste au lieu des gaz de shale ? C’est l’Office québécois de la langue française qui est derrière tout ça.
On dit souvent que la beauté est dans l’œil de celui qui regarde. Suivant la même philosophie, on pourrait dire que l’accent est dans l’oreille de celui qui entend.
Le Salon de l’immobilier et de l’aménagement extérieur se déroule ce week-end à Sainte-Adèle à la Place des citoyens.
Mont Saint-Sauveur international (MSSI) déboursera près d’un million $ pour construire un parcours de mini-golf à proximité de ses glissades d’eau et de ses manèges. La station de ski poursuit ainsi son objectif de diversifier ses activités dans le domaine du loisir.
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Inspiré d’événements en Europe et au Québec (Mascouche et Montréal), l’Oktobierfest a pris de l’importance et est devenu un incontournable à Sainte-Adèle. Plusieurs visiteurs y découvrent une passion pour la bière et y goûtent plusieurs saveurs. « L’idée était de faire venir des gens à Sainte-Adèle et d’organiser quelque chose à grand déploiement! J’ai vu ce qui se faisait ailleurs et j’ai constaté l’engouement. J’ai su que pour Sainte-Adèle, ça pourrait marcher. C’est avec l’aide d’un comité formé à la Chambre de commerce qu’on a mis la première édition sur pied, » soutient Frédéric Belval, ancien directeur général à la Chambre de commerce de Sainte-Adèle et cofondateur de l’Oktobierfest.
Ce dernier souligne le travail d’équipe aux côtés de gens qui s’impliquent encore au sein de l’événement comme Guy Vandenhove, actuel président de la Chambre, Gilles Imbert, propriétaire du restaurant La Farandole. Parmi les « brasseurs » d’idées, on retrouvait aussi Fanny Lavoie, et Jonathan Dubois, partenaire de l’événement qui se voulait une fête bavaroise, combinée de bière et de nourriture.
Toujours grandiose
Aujourd’hui, l’Oktobierfest de Sainte-Adèle attire plus de 30 000 personnes et reçoit 18 brasseurs. Plus de 100 kiosques sont érigés pour faire connaître des commerçants d’ici et d’ailleurs. Diverses activités sont greffées à ce festival qui dure trois jours en octobre comme des manèges, de l’animation et un concours d’hommes forts. Organisé à la nouvelle Place des citoyens au centre du village de Sainte-Adèle, l’Oktobierfest est devenu célèbre et fait briller la région. « Je suis content de voir ce que c’est devenu! On a commencé avec quatre ou cinq brasseurs en combinant la période des couleurs et aujourd’hui c’est incroyable! Des gens y ont cru! » affirme M. Belval.
L’actuel directeur de la Chambre de commerce de Sainte-Adèle Guy Goyer se dit ravi et souligne la collaboration des commerçants qui font découvrir une panoplie de saveurs aux visiteurs. « Je ne croyais pas qu’il y avait autant d’amateurs de bières. Les gens viennent et veulent goûter! Dans les microbrasseries comme Gueule de Loup à Sainte-Adèle, il n’y a pas d’âge, c’est une formule gagnante, accessible à tous! »
Guy Goyer, Chambre de commerce de Sainte-Adèle
