Rions un peu

Mimi Legault [email protected] Publié le 4 août 2015

Souvenir d'été.

© SADC Antoine-Labelle

C’est encore l’été, je préfère écrire des sujets légers. J’ai gardé quelques anecdotes réelles et drôles qui me sont arrivées ou qui se sont produites chez mes proches. J’en fais une chronique, histoire de vous faire rire un peu.

Car si l’été est synonyme de chaleur, attendez-vous à un automne « hot ». On laissera les carrés de sable pour peut-être vivre le retour des carrés rouges. Les BBQ perdront leur place pour le bruit des casseroles. Alors, aussi bien prendre une bonne dose d’humour.

Mes amis Line et Louis avaient demandé à un menuisier qu’il connaissait de leur confectionner une magnifique tête de lit qu’il était allé poser avec l’aide de son épouse. Quelques mois plus tard, Louis rencontra dans une file d’attente à une caisse de supermarché l’épouse en question. Il la salua et lui dit à quel point il était content du travail qu’elle avait fait avec son mari. Mais en la voyant rire et rougir et entendant les gens glousser autour d’eux, Louis se rendit compte de la formulation équivoque de son compliment parce qu’il lui avait dit : « j’adore coucher dans votre lit ».

Nous étions, cet été, chez un couple d’amis que je nommerai Pipo et Bert. Leurs enfants (4 et 6 ans) les accompagnaient. Il faisait un temps de carte postale et nous en avions profité pour nous baigner dans leur piscine. Au souper, le menu fut simple : blé d’Inde, hamburgers et croustilles. Pipo avait tout mis sur la table et chacun se servait. À la fin du repas, le plus jeune s’empara du tube de crème solaire qui traînait sur la table. En le regardant, Bert s’exclame : « Quoi???? Ce n’était pas de la mayonnaise? » Le voilà du coup qui perd son beau bronzage, il est blanc comme neige. Il avait garni son hamburger avec de la crème solaire! En lisant sur le tube, son épouse Pipo apprit que si ingéré, il fallait appeler le médecin. Mais le centre antipoison nous rassura tous. Il en fut quitte pour une légère nausée.

Ma dernière anecdote s’est produite il y a quelques années, mais j’aime bien la raconter tellement nous avions ri. C’était durant l’été. Nous étions quelques couples à jouer tous les jours au tennis. Mais il avait fait tellement beau que l’un de nous, André, s’était contenté de jouer sans tee-shirt (c’était un tennis privé) ne portant qu’un léger short. Puis, on se perdit de vue les mois suivants. Le 24 décembre, je me trouvais à la succursale de la SAQ. La file d’acheteurs était très longue. J’étais presque rendue à la caisse pour payer. Soudain, quelqu’un me hèle et me crie devant tout l’monde : « Salut, Mimi ». Il portait un gros manteau de fourrure. Alors, il répète : « C’est moi André ton partenaire au tennis ». Et devant des dizaines de personnes qui écoutaient notre échange : « ha, c’est toi, je ne t’avais pas reconnu tout habillé. »

Fait malheureusement vécu….

En manchette

PQ: le prochain chef connu le 7 octobre

DRUMMONDVILLE. Les membres du Parti québécois choisiront leur prochain chef au début du mois d'octobre prochain, a annoncé le chef intérimaire Sylvain Gaudreault, dimanche.

Une superbe bibliothèque à balcon

Alors que j’examinais une série d’objets et de meubles anciens pour le compte d’une dame habitant la région du Haut-Richelieu, je suis tombé face à cette bibliothèque aux accents de style Eastlake, un meuble qu’on rencontre très rarement dans nos maisons québécoises.

Rions un peu

Mimi Legault [email protected] Publié le 4 août 2015

Souvenir d'été.

© SADC Antoine-Labelle


C’est encore l’été, je préfère écrire des sujets légers. J’ai gardé quelques anecdotes réelles et drôles qui me sont arrivées ou qui se sont produites chez mes proches. J’en fais une chronique, histoire de vous faire rire un peu.

Car si l’été est synonyme de chaleur, attendez-vous à un automne « hot ». On laissera les carrés de sable pour peut-être vivre le retour des carrés rouges. Les BBQ perdront leur place pour le bruit des casseroles. Alors, aussi bien prendre une bonne dose d’humour.

Mes amis Line et Louis avaient demandé à un menuisier qu’il connaissait de leur confectionner une magnifique tête de lit qu’il était allé poser avec l’aide de son épouse. Quelques mois plus tard, Louis rencontra dans une file d’attente à une caisse de supermarché l’épouse en question. Il la salua et lui dit à quel point il était content du travail qu’elle avait fait avec son mari. Mais en la voyant rire et rougir et entendant les gens glousser autour d’eux, Louis se rendit compte de la formulation équivoque de son compliment parce qu’il lui avait dit : « j’adore coucher dans votre lit ».

Nous étions, cet été, chez un couple d’amis que je nommerai Pipo et Bert. Leurs enfants (4 et 6 ans) les accompagnaient. Il faisait un temps de carte postale et nous en avions profité pour nous baigner dans leur piscine. Au souper, le menu fut simple : blé d’Inde, hamburgers et croustilles. Pipo avait tout mis sur la table et chacun se servait. À la fin du repas, le plus jeune s’empara du tube de crème solaire qui traînait sur la table. En le regardant, Bert s’exclame : « Quoi???? Ce n’était pas de la mayonnaise? » Le voilà du coup qui perd son beau bronzage, il est blanc comme neige. Il avait garni son hamburger avec de la crème solaire! En lisant sur le tube, son épouse Pipo apprit que si ingéré, il fallait appeler le médecin. Mais le centre antipoison nous rassura tous. Il en fut quitte pour une légère nausée.

Ma dernière anecdote s’est produite il y a quelques années, mais j’aime bien la raconter tellement nous avions ri. C’était durant l’été. Nous étions quelques couples à jouer tous les jours au tennis. Mais il avait fait tellement beau que l’un de nous, André, s’était contenté de jouer sans tee-shirt (c’était un tennis privé) ne portant qu’un léger short. Puis, on se perdit de vue les mois suivants. Le 24 décembre, je me trouvais à la succursale de la SAQ. La file d’acheteurs était très longue. J’étais presque rendue à la caisse pour payer. Soudain, quelqu’un me hèle et me crie devant tout l’monde : « Salut, Mimi ». Il portait un gros manteau de fourrure. Alors, il répète : « C’est moi André ton partenaire au tennis ». Et devant des dizaines de personnes qui écoutaient notre échange : « ha, c’est toi, je ne t’avais pas reconnu tout habillé. »

Fait malheureusement vécu….